Demain, mercredi 11 mars aura lieu, en amphithéâtre 34A, une assemblée générale de l’ensemble de la communauté universitaire. Le blocage de l’université sera mis à l’ordre du jour. Départ pour la manifestation prévu à la fin de l’assemblée, rendez-vous place Jussieu. Venez nombreux.
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[11/03/2009] Assemblée générale, amphithéâtre 34A
Tuesday, March 10th, 2009[09/03/2009] Comité de mobilisation
Monday, March 9th, 2009Comité de mobilisation, aujourd’hui à 12H30.
[06/03/2009] Compte-rendu de la CNU
Saturday, March 7th, 2009
Communiqués et motions de la 5e coordination nationale des universités
- Communiqué du soir
Vendredi 6 mars 2009, 19h45 La Coordination Nationale des Universités dénonce une nouvelle provocation du Ministère.
Comme vendredi dernier à la même heure, Valérie Pécresse fait croire à une avancée significative des pseudo-négociations engagées avec trois syndicats minoritaires. La Coordination Nationale des Universités, réunie aujourd’hui à Créteil en présence de 500 délégués mandatés par toutes les universités et organismes de recherche de France, dénonce catégoriquement cette supercherie. La réécriture du décret, annoncée ce soir sur le site du Ministère, est inacceptable dans la mesure où elle maintient les orientations du premier texte contesté. Elle ne satisfait aucune de nos revendications. La Coordination Nationale des Universités appelle à une amplification du mouvement en lien avec les étudiants et l’ensemble de la communauté d’éducation et de recherche, de la maternelle à l’université. Aujourd’hui, l’Université n’était pas au Ministère. Elle était à Créteil.
Notre réponse : tous dans la rue le 11 mars !
- Communiqué du matin
Au lendemain d’une nouvelle journée de mobilisation exceptionnelle qui a rassemblé partout en France 50 000 personnes dans les rues, la Coordination Nationale des Universités réunie ce jour à l’Université Paris 12 dénonce les manoeuvres dilatoires du gouvernement et ses stratégies de division qui consistent à négocier de façon sélective en
ignorant les principaux acteurs et les principaux motifs de la mobilisation en cours.
Prenant acte de profondes divergences entre les positions défendues par la Conférence des Présidents d’Université et celles de la communauté universitaire, la Coordination Nationale des Universités affirme le caractère non représentatif et non légitime de la CPU qui n’a pas vocation à négocier avec le gouvernement.
La Coordination Nationale des Universités constate que les réponses apportées par le gouvernement sont scandaleusement insuffisantes :
rien n’a été obtenu sur la masterisation et la réforme des concours de recrutement des enseignants
aucun plan pluriannuel de création d’emplois statutaires ni de titularisation des personnels précaires n’a été envisagé pour les différentes catégories de personnels (BIATOSS, ITA, enseignants, enseignants-chercheurs, chercheurs)
aucune prise en compte des revendications des étudiants n’a été constatée
il n’a pas été question du contrat doctoral qui consacre la précarisation des jeunes chercheurs
sur la question du décret modifiant le statut des enseignants-chercheurs, des effets d’annonce sans consistance réelle ont été présentés comme des avancées
le démantèlement des organismes publics de recherche s’accélère
En conséquence, la Coordination Nationale des Universités maintient le mot d’ordre de grève reconductible, totale et llimitée lancé le 22 janvier : « L’Université et la Recherche s’arrêtent ». Elle exige plus que jamais l’abrogation de la loi LRU et du « Pacte pour la Recherche ».
Elle réitère son appel à l’extension du mouvement de « la maternelle à l’Université ». Elle appelle aux manifestations unitaires du mercredi 11 mars et au succès de la Coordination Nationale des Laboratoires le 12 mars.
Motion n° 1 : Non à la casse du service public d’enseignement de la maternelle à l’université
La Coordination Nationale des Universités constate que les revendications fondamentales concernant la formation et le recrutement des enseignants des premier et second degrés restent systématiquement ignorées par le gouvernement. Or, ce projet de réforme dite de la « masterisation » porte atteinte aux fondements de la démocratie et aux principes de l’école laïque de la République accessible à tous.
La Coordination Nationale des Universités dénonce le processus de révision générale des politiques publiques qui porte atteinte à tout le service public d’éducation de la maternelle à l’université.
Elle refuse la transformation du corps enseignant en un vivier de contractuels précaires, l’institutionnalisation de la vacation, l’affaiblissement du contenu disciplinaire et professionnel dans la formation des enseignants, la suppression de l’année de stage rémunérée qui garantit aux fonctionnaires stagiaires une formation au sein des IUFM, en alternance avec au maximum un tiers temps devant les élèves.
Elle condamne aussi les discriminations sociales et territoriales qui en résultent.
Par conséquent, elle appelle plus que jamais à la convergence des luttes de la maternelle à l’Université pour la défense du service public d’enseignement.
Elle exige le retrait pur et simple et sans condition de ce projet de réforme néfaste comme l’un des préalables indispensables à l’ouverture de toute négociation. Une telle négociation ne pourra être envisagée que sur la base du maintien d’une stricte corrélation entre réussite au concours et formation aux métiers d’enseignant, seul moyen de garantir que la masterisation ne soit pas l’occasion de liquider la fonction publique d’enseignement. La CNU, tout en soutenant l’exigence de la reconnaissance du niveau de qualification des enseignants des premier et second degrés à Bac + 5, s’élève contre le projet de masterisation tel qu’il est envisagé actuellement par le gouvernement. Elle dénonce toute mise en place d’un dispositif transitoire pour les concours et exige le maintien de la forme actuelle des concours et de leur cadre national.
La Coordination Nationale des Universités exige que le principe du monopole de l’Université dans la collation des grades et des diplômes universitaires soit rétabli.
Elle demande solennellement aux CA des universités qui ont voté la non-remontée des maquettes de ne pas se dédire et donc de ne faire remonter aucune maquette.
Motion n° 2 : Effets néfastes de la LRU et du « Pacte pour la Recherche » révélés par leurs décrets d’application
La Coordination Nationale des Universités s’indigne de ne pas voir ses revendications prises en compte par le gouvernement, alors qu’au même moment des primes indécentes sont proposées aux Présidents d’Université dans l’espoir d’obtenir leur collaboration.
Prenant connaissance de l’annonce d’une réécriture intégrale du projet de décret sur le statut des enseignants-chercheurs, la Coordination considère que les principes directeurs affichés par la ministre et les dispositions annoncées maintiennent l’esprit du premier texte contesté.
Elle exige le retrait de ce projet, l’abrogation de la loi LRU et du pacte pour la recherche.
Elle exige :
la révision complète du mode d’allocation des moyens (modèle dit SYMPA), et un financement à la hauteur des besoins du service public d’enseignement supérieur et de recherche ;
le retrait du projet de restructuration de l’administration centrale du MEN-MESR, ainsi que celui du projet de pôle de contractualisation ;
un plan pluriannuel de création d’emplois statutaires de la fonction publique d’Etat pour toutes les catégories de personnels, comprenant la titularisation des actuels personnels précaires et contractuels, et excluant la mise à disposition massive des professeurs agrégés du second degré ;
l’alignement du taux d’encadrement des premiers cycles universitaires sur celui des autres composantes de l’enseignement supérieur (CPGE, etc.) ;
la restitution de tous les emplois supprimés au budget 2009 et l’annulation de toutes les suppressions prévues aux budgets 2010/2011 ;
la dissolution de l’AERES et de l’ANR ;
une réflexion collective sur le rôle et la composition du CNU ;
la revalorisation des carrières et l’intégration des primes dans les salaires pour tous les personnels ;
le maintien et la restitution de tous les postes des personnels BIATOSS et ITA (en postes et non en budget, notamment lors des départs à la retraite), la reconnaissance pour ces personnels de leurs qualifications et l’abandon de l’évaluation individuelle basée sur la performance et le résultat, ainsi que le passage de 10 à 12 mois des CDD de niveau B et C, comme mesure transitoire à la titularisation ;
la fin du processus d’externalisation des tâches administratives et techniques qui menace les personnels BIATOSS et ITA ;
la revalorisation du point d’indice et l’intégration de l’ « accord Bino » stipulant que les personnels titulaires et contractuels gagnant moins de 1400 euros brut toucheront jusqu’à 200 euros de plus par mois ; le réinvestissement de l’État dans les aides sociales accordées aux étudiants avec indexation sur l’inflation (abandon du rapport Lambert
qui vise à la privatisation des CROUS) ;
le retrait du plan Campus ;
le maintien de la définition nationale des diplômes des IUT ;
le retrait des réformes qui visent à la suppression de la filière « bibliothèques ».
La Coordination Nationale des Universités refuse :
la casse des emplois publics programmée par la RGPP ;
les atteintes faites aux différents organismes de recherche et en particulier le démantèlement du CNRS en instituts et sa transformation en agence de moyens. La Coordination s’associe à la motion votée le 12 février par l’AG des personnels du CNRS ;
la suppression de plusieurs centaines de postes au CNRS et la création de chaires mixtes universités/organismes ;
la désassociation massive des unités mixtes de recherche (UMR) CNRS / universités
le processus de délabélisation des équipes de recherche piloté par le ministère ;
la tendance actuelle à imposer de manière contraignante un cadre collectif à la recherche qui doit aussi pouvoir rester une démarche individuelle, incluant la liberté de choisir son laboratoire de rattachement ;
la concentration des pouvoirs dans les mains des présidents d’universités au détriment des instances collégiales ;
l’évaluation-sanction ;
la modulation des services, conduisant à un accroissement des charges de services des enseignants-chercheurs. Le service statutaire doit être défini exclusivement par référence à un volume maximal de 128 heures de cours (192 heures équivalent TD).
Motion 3
Contre la marchandisation des savoirs à l’échelle de l’Europe, et pour une autre politique européenne de l’enseignement et de la recherche
La coordination nationale des universités considère que la politique européenne actuelle conduit à la privatisation et à la marchandisation des savoirs, sous prétexte de promouvoir une « économie de la connaissance ». L’esprit des processus de Bologne et de Lisbonne compte pour beaucoup dans le démantèlement du service public d’enseignement et de recherche à l’échelle de l’Europe. Partout, en France, en Grèce, en Italie, en Espagne et ailleurs, c’est une même logique – utilitariste et marchande – qui est mise en ¦uvre selon des dispositifs d’évaluation et de classement fondés sur des critères de rentabilité conformes au modèle de l’entreprise privée.
Nous condamnons la stratégie de Lisbonne, aggravée au niveau français par la loi LRU, appelons à une autre politique européenne de l’enseignement supérieur et de la recherche.
La Coordination appelle à participer à la mobilisation européenne contre cette politique, du 18 au 20 mars 2009, à l’occasion du sommet européen portant sur la mise en ¦uvre de la stratégie de Lisbonne.
Motion n°4 sur le Contrat Doctoral Unique
La coordination nationale universitaire demande le retrait du projet de décret relatif au contrat doctoral unique qui :
aggrave la précarisation de la condition doctorante (période d’essai, possibilité de licenciement du doctorant chaque année…) ;
multiplie les tâches imposées au doctorant, ce qui nuit au travail de recherche doctorale ;
renforce la subordination du doctorant à l’égard des directeurs de thèse et d’école doctorale.
Nous exigeons que le statut doctorant garantisse prioritairement la formation à la recherche et à l’enseignement, l’identité étudiante et la reconnaissance du travail de recherche.
Calendrier
- 10 mars : journée d’actions diverses ; blocage des rectorats et des inspections académiques, distribution de tracts dans des lieux publics, actions « coup de poing »…
- 11 mars : journée nationale de manifestations « de la maternelle à l’université »
- 12 mars : appel à soutenir et à participer à la coordination nationale des laboratoires
- 14 mars : appel à soutenir la réunion des directeurs d’unité
- 14 mars : Coordination parents-enseignants à Montpellier
- 16 mars 2009 : prochaine Coordination nationale des Universités à l’Université de Bourgogne (pôle de Dijon)
- 17 mars : actions locales diverses (actions « coup de poing »)
- 19 mars : appel à la journée de mobilisation nationale intersyndicale et interprofessionnelle.
- 18-19-20 mars : envoi d’une délégation de la Coordination au contre-sommet européen de Louvain.
- 24 mars : appel à une journée nationale de manifestations.
actions convergentes avec d’autres secteurs, en particulier le secteur de la santé !
Actions
La Coordination Nationale des Universités appelle l’ensemble des universités à des actions de blocage, de filtrage ou d’occupation des campus.
Organisation du « printemps des chaises » (empêcher la tenue des cours par la saisie des chaises).
la nouvelle composition des délégations pour la Coordination Nationale des Universités est fixée à 5 délégués à composer librement par les AG locales.
La CNU appelle aussi au refus de participer aux jurys de bac.
Rappel d’un moratoire des expertises ANR et AERES.
Transmettre des cahiers de doléances aux élus locaux.
[05/03/2009] Assemblée générale mixte
Thursday, March 5th, 2009Une assemblée générale réunissant étudiants et enseignants-chercheurs aura lieu Jeudi 5 mars à 12h30 en amphithéâtre 43. Au vu de la faible mobilisation sur le campus, il est très important de venir à cette assemblée ! Le départ pour la manifestation aura lieu dès la fin de l’assemblée générale.
[03/03/2009] Assemblée générale étudiante
Monday, March 2nd, 2009Demain, assemblée générale étudiante à 12h30 en amphithéâtre 43.
[20/02/2009] Compte-rendu de la CNU
Friday, February 20th, 2009Communiqué du matin
La journée de manifestations du 19 février a rassemblé 50 000 enseignants, enseignants-chercheurs, chercheurs, BIATOSS, ITA, précaires, post-doctorants, doctorants, étudiants, et des personnels de l’Education Nationale dans toute la France. Aujourd’hui, le 20 février 2009, la 4ème Coordination nationale des universités se tient à Nanterre.
Elle exprime son exaspération face au mépris sans précédent manifesté par le gouvernement et par le président de la République vis-à-vis de son mouvement et de ses revendications, vis-à-vis de l’ensemble de la communauté universitaire.
Elle constate que les revendications posées par les Coordinations précédentes n’ont pas été satisfaites et que les réformes contestées n’ont pas été retirées.
En conséquence, elle maintient le mot d’ordre de grève, reconductible, totale et illimitée lancé le 22 janvier : « L’Université et la Recherche s’arrêtent ».
Motion 1
« De la maternelle au supérieur »
Les délégués à la Coordination nationale des universités réunie à Nanterre le 20 février 2009 constatent qu’un projet cohérent est en train d’être mis en place de la maternelle à l’université : casse des services publics et des statuts des personnels et des établissements de la fonction publique, éducation à deux vitesses, mise en concurrence des établissements, crédits insuffisants, suppressions de postes, précarisation. Nombre de nos revendications concernent les collègues de la maternelle, du primaire et du secondaire, et au-delà l’ensemble de la société. Leurs revendications sont les nôtres. Ceci est particulièrement vrai en ce qui concerne l’emploi, la réforme des concours de recrutement et de la formation des enseignant-e-s, mais aussi la remise en cause des disciplines et des statuts nationaux.
La coordination appelle à la multiplication des actions communes partout sur le mot d’ordre « De la maternelle à l’université : retrait des contre-réformes Darcos/Pécresse ».
Elle reprend la proposition que soit organisée une grande journée de mobilisation sur ce mot d’ordre début mars.
Dans cette perspective, elle mandate une délégation pour prendre contact avec les organisations syndicales et l’Intersyndicale de l’enseignement supérieur et de la recherche. Elle appelle nos collègues à aller discuter dans les écoles, collèges et lycées. Elle appelle les IUFM à rejoindre massivement le mouvement et à le relayer auprès des maîtres formateurs. Elle mandate une délégation à la coordination parents-enseignants du 14 mars à Montpellier.
Motion 2
“Pour une nouvelle loi”
La coordination nationale exige l’abrogation de la loi LRU et du Pacte pour la Recherche et l’arrêt immédiat de leur mise en œuvre. Elle exige l’adoption d’une nouvelle loi. Cette loi doit instituer un véritable équilibre des pouvoirs au sein de l’Université et de la Recherche dans le respect du Statut Général de la Fonction publique. La nouvelle loi doit être conforme aux aspirations exprimées par les universitaires, les chercheurs, les BIATOSS, les ITA et les Etudiants. Il est impératif que cette nouvelle loi soit élaborée après consultation et de véritables négociations.
Motion 3
La 4ème Coordination nationale des universités réunie à Nanterre le 20 février 2009 reprend à son compte les motions votées dans les Coordinations précédentes, avec l’ensemble des revendications qu’elles contiennent, et l’appel du CNRS voté le 12 février. Nous continuons à exiger :
le retrait de la réforme du mode d’allocation des moyens (dit modèle SYMPA)
la résorption totale de la précarité et l’augmentation des salaires des personnels (revalorisation du point d’indice et intégration des primes dans les salaires)
le réinvestissement de l’Etat dans les CROUS et dans l’aide sociale aux étudiants
la fin du processus d’externalisation des tâches, et le maintien de la filière bibliothèque.
La coordination nationale des universités appelle à intensifier la mobilisation et les luttes en cours. Elle soutient les revendications de la Coordination étudiante du 14-15 février. Elle soutient les « désobéissants » qui refusent dans les écoles de mettre en place le soutien individualisé, et demande l’arrêt immédiat des sanctions contre les enseignants du primaire.
Dans l’immédiat, la coordination nationale exige le retrait des trois réformes contestées (projet de réforme du statut, masterisation des concours, projet de contrat doctoral unique), la fin du démantèlement des organismes publics de recherche ainsi que la restitution des 1030 postes supprimés, et un plan pluriannuel de création d’emplois .
Motion 4
Solidarité avec les étudiants
La Coordination nationale des universités réunie à Nanterre le 20 février 2009 déclare son soutien au mouvement des étudiants et à leurs revendications telles qu’exprimées dans la plateforme de leur première coordination nationale de Rennes.
Elle mandate une délégation pour prendre contact avec le comité d’organisation de leur prochaine coordination nationale : samedi 28 et dimanche 29 février (université d’ Angers).
Calendrier national
24 février : multiplier les actions en direction du public.
26 février : journée nationale de manifestations.
5 mars : journée nationale de manifestations. Par ailleurs, si nos exigences ne sont pas satisfaites à cette date, nous appelons à la démission de toutes les charges administratives non électives et au refus de participation aux jurys (bac, BTS, DUT, Capes-Agreg, session de printemps…), enfin à pratiquer l’obstruction dans le cadre des mandats électifs.
7 mars ? : Rassemblement de la maternelle à l’université
6 mars : Prochaine AG de la Coordination nationale à Paris 12 (peut-être avec Marne-La-Vallée).
10 mars : Grande manifestation nationale “de la maternelle à l’université” à Paris.
12 mars : Appel à soutenir et à participer à la Coordination Nationale des laboratoires.
19 mars : Appel à la journée de mobilisation nationale intersyndicale et interprofessionnelle.
Et aussi
Développer la grève active, des cours alternatifs, les interventions dans les lieux publics, voir leur occupation.
Boycott des expertises AERES et ANR, boycott des audits des Universités pour le passage à l’autonomie. Envoi d’une lettre de la coordination.
Blocage des conseils centraux qui prévoient de remonter les maquettes.
Participation aux Journées en mars à Bruxelles en relation avec la stratégie de Lisbonne et de Bologne.
Voter le principe d’une caisse de grève avec les BIATOSS et les ITA, le primaire et le secondaire.
Appel aux chefs de service administratifs pour ne pas remonter le recensement des grévistes.
Délégation à la coordination étudiante à Angers le week-end du 28 février-1er mars.
[19/02/2009] Assemblées générales
Thursday, February 19th, 2009Les assemblées générales des personnels et des étudiants auront lieu dans l’atrium. L’assemblée des personnels devrait commencer vers 11h, celle des étudiants à 12h30.
[17/02/2009] Compte-rendu de l’AG
Tuesday, February 17th, 2009Voici un bref compte-rendu de l’assemblée générale étudiante de ce midi. L’assemblée s’est déroulée dans l’amphithéâtre 43.
En préambule à l’ordre du jour, la tribune a fait un rapide point sur la coordination étudiante du week-end et sur le barrage filtrant du matin. L’appel de la coordination était distribué à l’entrée de l’amphithéâtre.
Le premier point abordé concernait la plateforme de revendication. Celle-ci est toujours aussi large et l’ensemble des personnes présentes était d’accord pour ne pas la limiter au seul décret concernant les enseignants chercheurs mais bien de réclamer également l’abrogation de la LRU, le retrait de la réforme concernant la masterisation du CAPES et de s’opposer au démantelement du CNRS. S’en suivît un débat d’une vingtaine de minutes.
Le second point abordé fût celui des perspectives. On parla, dans l’ordre, du barrage filtrant de jeudi matin, de l’action prévue l’après-midi et de la coordination francillienne de demain. Concernant l’action de l’après-midi, l’UNEF proposa un rassemblement devant le ministère. Il fût répondu que la CNU et la coordination étudiante de ce week-end appelait plutôt à des actions d’information et de diffusion dans les gares.
L’assemblée générale se termina par l’élection des délégués de l’UPMC pour la coordination francilienne de demain. Il y avait cinq candidats pour quatre mandats. Furent élus Lucas, Adrien, Fabien et Ludmilla. L’assemblée vota pour un mandat semi-impératif.
[17/02/2009] Assemblée générale
Monday, February 16th, 2009Une assemblée générale étudiante aura lieu mardi 17 février à partir de 12h30. Amphithéâtre à préciser, consulter les panneaux d’affichages.
[16/02/2009] Compte-rendu de l’AG des personnels
Monday, February 16th, 2009L’Assemblée générale des personnels de l’Université Paris 6 constate que la grève continue – sans faiblir – cette semaine à l’Université Paris 6.
Motions votées :
L’AG a pris position pour les actions suivantes :
Demain mardi, diffusion de tracts dans les gares : RV en bas de la TOUR 46 15H15 Mardi, “déguisés en chercheurs” pour aller distribuer Gare de Lyon RV en bas de la TOUR 56 15H30 Mardi, pour aller distribuer Gare d’Austerlitz (des exemples de tracts “pédagogiques” devraient passer sur cette liste)
Dans toutes les UFR, action sur les directeurs d’UFR et les élus aux Conseils d’UFR pour qu’ils convoquent un conseil d’UFR extraordinaire qui se prononcerait sur les réformes en cours.
Pressions à faire sur les directeurs de labos pour la non-transmission des noms des grévistes à l’administration
L’AG appelle à signer les pétitions suivantes :
– Darcos, démission : http://www.shesp.lautre.net/spip.php?article43
– Sarkozy, excuses : http://excuses-sarkozy.fr.nf/
Boycott et refus de se soumettre et/ou participer aux expertises de l’AERES (et ANR), appel au blocage des futurs CA des EPST
occupation pacifique (mais massive) de l’Atrium un de ces jours (jeudi ?), en commençant par les enseignants de L1
jeudi manifestation
La mobilisation étudiante monte, et les étudiants organisent un barrage filtrant demain mardi et appellent les personnels à venir participer à ce barrage filtrant (discussions) à partir de 7h du matin.
Discussions lors de l’AG :
Il a été souligné l’importance de créer des groupes de discussion/élaboration sur les revendications à avoir pour nos métiers. Ces groupes de discussion peuvent se convoquer en utilisant la liste agp6, à l’instar du groupe qui s’est crée sur la reflexion autour des 120h et de l’enseignement.
Il a aussi été envisagé une AG strictement des BIATOS (élaboration de revendications propres).
Une motion de soutien au mouvement en Guadeloupe/Martinique sera écrite avec soin et proposée à la prochaine AG
Mandatés :
L’AG a en outre mandaté 2 EC, 1 IATOS et 1 post-doc pour la prochaine coordination nationale des universités (vendredi prochain).
Informations AG locales :
AG UFR Physique Mercredi 14h Amphi 55 AG UFR Ingénierie Jeudi 10h Amphi B2